Je passe la nuit chez Alizée. C’est elle qui m’a convaincue de commencer par Londres. Elle avait une envie de shopping. Sa maman Cathy nous a amenées à l’aéroport de Genève, c’était plus pratique que je dorme chez elle, bien que je n’aie pas beaucoup dormi, juste quelques heures, à réfléchir en souriant, harcelée par ses chats aux noms égyptiens.
Dans l’avion, j’ai de la peine à comprendre ce qui m’arrive.
Quand on atterrit, j’ai le sentiment de plonger dans un rêve.
Me voilà à Londres… Enfin…
Le voyage débute. Vraiment.
Si je devais donner une couleur à Londres, ce serait le Noir. Profonde, mystérieuse, fascinante, dangereuse, avec des ruelles glauques où l'on semble pouvoir discerner l'ombre du fantôme de Jack l'Eventreur. Tantôt claire grâce au soleil timide, tantôt sombre à cause des nuages imposants. Ville de paradoxes, tiraillés entre le désir interdit et la fascination merveilleuse.
Ville incroyable. Gigantesque. Serpentée par le métro underground. Mêlant le moderne et le style victorien. Ces bâtiments en briques rouges, ces gens excentriques. Les jeunes filles sont trop maquillées, elles prennent des tops pour des robes, les leggings transparents pour des pantalons, sans prendre en compte la basse température extérieure. Et plus personne ne fait attention à elles.
Ville incroyable. Gigantesque. Serpentée par le métro underground. Mêlant le moderne et le style victorien. Ces bâtiments en briques rouges, ces gens excentriques. Les jeunes filles sont trop maquillées, elles prennent des tops pour des robes, les leggings transparents pour des pantalons, sans prendre en compte la basse température extérieure. Et plus personne ne fait attention à elles.
Marcher dans Londres, c'est comme être transparent: personne ne vous regarde, personne ne fait attention à vous. Pourtant vous existez.
Les rues sont mouvementées, elles jonglent avec des cabs noirs qui ont la forme de voiture des années 50, des bus à deux étages, des piétons qui se jettent sur la route avant que le feu vert ne pousse sa sonnerie stridente. Surtout, tout semble inversé. C'est impossible de s'habituer au fait qu'avant de traverser, il faut regarder d'abord à droite et ensuite à gauche.
Les sons de cette ville varient entre le crooner à la guitare dans Piccadilly Circus Underground, les taxis qui klaxonnent, les métros tricolores qui crissent au freinage sur les rails.
A Londres, ça sent le gaz, le pneu brûlé et les fish'n'chips.
Comme toutes les filles, à Londres, on aime Primark et Topshop.
Piccadilly Circus: Place pseudo-circulaire, complètement décalée avec sa statue d'Eros, ses écrans géants qui éclatent dans la nuit et son musée Believe it or not.
A Londres, il fait beau un jour sur deux.
Camden Town: ou comment trouver les meilleures restaurants étrangers à manger assis sur des sièges en forme de scooters (ou des scooters en forme de siège). Ou encore, comment avoir envie de tout acheter, notamment tout ce qu'il y a dans le vieux fouillis, le bric-à-brac de l'écurie réaménagée. Le vintage est au rendez-vous, il se mêle à l'électro dark et les gens s'adaptent. Bain de pieds aux poissons, odeur d'encens indien, musique électro par ici, musique lounge par là. Tout se mélange et s'accorde dans un décalage qui semble harmonieux.
British Museum: Immense batisse regroupant toutes mais bien toutes les civilisations du monde entier, tous les êtres humains avec leurs uses et coutumes, toute l'Histoire réunie en un seul bloc superbe.
À Londres, la culture est gratuite. L’accès au musée est simple : il suffit d’y entrer.
Les gens dans la rue semblent froids et distants. Pourtant, ils sont là pour vous aider quand ils vous voient vous battre avec votre carte de touriste. Je crois que les Anglais se lâchent au théâtre, quand ils vont voir un bon music hall ("Dirty dancing" au Aldwych theatre, par exemple!) Ils aiment bien manifester ouvertement leurs émotions (surtout les filles, en fait...) en hurlant, sifflant, applaudissant, poussant des onomatopées réactives, offusquées, admiratives. Le public anglais vit entièrement avec le spectacle.
Notting hill : le charmant quartier où on rêverait tous de se faire frapper par un fabuleux coup de foudre (tant que c'est pas avec Hug Grant, moi, ça me va...)
Portobello Market : Marchés, magasins près de Notting Hill. Ruelles bordant des maisons en briques, avec leur perron encadré de colonnes, perché sur quelques marches d'escalier. Tipical british. I like. Magasins d'antiquités. ça donne de bonnes idées pour un futur appartement...
Knightsbridge: c'est dans cette rue qu'on va faire ses achats quand on est l'héritière d'une ligne de grands hôtels de luxe. Sinon, on s'abstient et on lèche les vitrines en pleurant.
Harrods : Le plus grand centre commercial de la ville. On aimerait bien acheter la pince à épiler la moins chère, juste pour avoir le sachet Harrods...
Les parcs de Londres sont incroyables. Surtout quand on croise leurs adorables petits habitants les écureuils qui viennent manger dans votre main si vous êtes capables de leur offrir des pistaches ou des cacahuètes. Le Hyde Park est sans doute le plus impressionnant. C'est beau de le traverser par pluie ou beau temps (même si on préfère le beau temps, la pluie fait partie du quotidien londonien) pour se trouver au centre, comme exilé de la ville et son vacarme de sirènes. Le St-James Park est magnifique aussi, quoique plus intime car plus petit.
Chinatown est un impressionnant quartier tellement bien intégré dans la ville qu'il est presque drôle de voir tous ces lampions chinois accrochés aux maisons victoriennes, comme si les deux cultures étaient tellement en fusion qu'elles en avaient créées une troisième.
Buckhingham Palace: grand, imposant, mais pas vraiment beau (il paraît que le campus de Roehampton University est plus beau), malgré tout impressionnant. Les gardes à l'entrée sont absurdes. Ce sont des hommes, rien de plus commun. Et pourtant, ce sont sans doute les gens les plus photographiés de la Grande-Bretagne. J'imagine qu'ils doivent s'embêter à rester debout toute la journée sans broncher. Et que le soir ils doivent difficilement se défaire de leurs démarche et mouvements mécaniques. Ce doit être de vrais moulins à parole, par contre, pour rattraper tout ce qu'ils ne disent pas durant la journée. Certes, servir la Reine est un honneur. Mais j'ai presque l'impression qu'elle est plus un symbole qu'autre chose. Par contre, ce que je trouve davantage absurde, ce sont tous les touristes idiots qui hurlent, balancent des choses, tentent d'inventer mille et une inventions ingénieuses pour tenter de faire parler les gardes.
CONSTATATION UNIVERSELLE: Le point commun entre toutes les grandes villes et qu'elles sont toutes et absolument toutes envahies de pigeons. Sauf qu'à Londres, ils sont obèses.
London eye. S’il faisait moins brumeux, si la queue était moins longue, si l’entrée était un tout petit peu moins chère, j’y serais allée. Mais même de loin, l’œil de la ville est imposant, gigantesque et règne sur Londres.
Fish’n’chips est le plat national constitué d’un morceau de poisson frit dégoulinant de graisse sur un lit de frites tout autant graisseux et salé, servi traditionnellement dans un cornet en papier journal. Gras, calorique, mauvais pour le cholestérol, bourratif, c’est pas grave, c’est trop bon.
Tower Bridge : l’immense pont, autre emblème de la ville qui porte les couleurs nationales, se séparait jadis pour se lever et laisser passer les bateaux. Aujourd’hui, il n’est qu’un arbre à touristes.
King’s Cross : la fameuse gare d’Harry Potter. Elle a moins de charme en vrai que dans les films puisqu’elle est en travaux. Et la voie 9 trois quarts n’est qu’un mythe. Déception et désillusion !
Piccadilly Trocadero : centre de jeux, de magasins absurdes, décalés, de bonbons, de gens fanatiques et captivés par les jeux d’argent et virtuels.
Quand Alizée s’en va, j’ai l’impression de perdre la dernière chose qui me relie à la Suisse. A présent, je suis seule. Et je vais devoir continuer.
Je saute dans n’importe quel bus, je demande s’il va à Roehampton, il paraît que oui alors je lui fais confiance. J’atterris je ne sais pas trop où, mais je retrouve mon chemin. Je retrouve Delphine qui étudie à l’université de Roehampton et qui va m’héberger quelques temps dans sa petite chambre d’étudiante, sur un matelas gonflable qui fait du bruit et qui prend le 90% de la place de la pièce.
Roehampton est un quartier glauque. La moyenne de crimes commis dans ce quartier est de 53 en trois mois. Mais le campus est génial, gigantesque et on se croirait vraiment à Poudlard. (Oui, je n’en finirais jamais avec mes petits idéaux de magicienne).
Slimelight club. Soirée punk, gothique sur fond de musique industrielle, la plupart en allemand, qui comptent jusqu’à quatre et disent qu’ils aiment et qu’ils haïssent. Très intéressant. La boîte est énorme, avec des escaliers partout qui mènent dans des coins sombres et douteux, il y a deux salles pour danser à l’étage et un endroit pour manger au rez (halumi kebaaab !!) avec un feu de bois.
Les Anglais sont paradoxaux. Ils aiment garder leurs clichés, leurs emblèmes, mais ce n’est que pour l’image car quand le masque tombe, on découvre le vice. Par exemple, les cabines téléphoniques rouges, sans doute un des plus gros clichés du pays, ont l’intérieur tapissé d’images pornos et de numéros de téléphones roses.
Les lavabos anglais ont deux robinets : un pour l’eau chaude et l’autre pour l’eau froide. C’est peu pratique, ni pour se laver les mains, ni pour la vaisselle, et c’est pas très écologique. Il paraît qu’à l’époque, ils allumaient les deux robinets pour remplir le lavabo et se laver les mains comme ca. C’est ce que je disais : pas très éco.
Soho : sympathique quartier avec de sympathiques bars, de sympathiques boites de nuit, de sympathiques gens (parfois bipolaires) et de sympathiques magasins.
Southwark Cathedrale : magnifique cathédrale gothique qui est la plus ancienne de la ville. Evidemment, œil de touriste ou œil de photographe en herbe, j’ai checké le meilleur plan pour prendre une jolie photo quand un type a déboulé vers moi en me réclamant 2 pounds pour prendre des photos. Je lui ai donné toute ma petite monnaie anglaise (impossible à reconnaître entre leurs pièces hexagonales, moyenâgeuses et leurs centimes) et il m’a gracieusement collé sur la veste un ticket qui certifiait que j’avais payé 2 pounds pour prendre des photos, avec la date du jour et écrit en gros FOR PERSONAL USE ONLY. Résultat : j’ai enfin pu prendre ma photo. Je rappelle que je fais de l’argentique et qu’il faut que je prenne peu de photos pour être sûre d’avoir assez de place dans mon sac pour toutes mes pellicules et que je ne peux pas voir si la photo et réussie et que pour le savoir je vais devoir attendre 6 mois avant de développer le film. J’espère que mes 2 pounds en valaient la peine…
Les vrais coockies anglais sont en réalité faits avec du chocolat belge.
Quand les Anglais prennent le bus, ils laissent toutes leurs courses à l’entrée du bus et les reprennent avant de descendre.
Quand on vit plusieurs jours consécutifs dans une grande ville, on aimerait bien que quelqu’un invente la téléportation. Parce que tout ce que j’ai fait à Londres en une semaine, j’aurais pu le faire en 3 jours si je ne perdais pas 6h de temps dans les métros, les bus et les trains. Du coup, le temps passe autrement. On apprend à être très patient, surtout quand on prend le train au lieu du métro et qu’on met 3 heures au lieu d’une pour rentrer du centre ville à la banlieue sud de Londres…
Les bus rouges à deux étages sont non seulement beaux, british et stylés, mais aussi ils sont géniaux. Une excursion sightseeing coûte 26 pounds, autant dire que cette somme permet de survivre dans la ville en tout cas 3 jours (en se nourrissant de fish’n’chips et Mcdonald’s) et qu’il ne vaut pas la peine de jeter l’argent par les fenêtres de cette manière là. C’est mieux de monter dans le premier bus à deux étages et de se mettre tout devant. Le sightseeing est d’une bonne qualité et coûte bien moins cher.
Celui que j’ai pris l’autre jour était d’un comme on en voit rarement. Il était vieux, sans porte automatique, juste un trou à l’arrière duquel on peut sauter à n’importe quel moment. Il n’y a pas de sonnette pour signaler la demande d’arrêt et il branle tellement en roulant qu’il est fortement conseillé de bien se tenir.
Les good English breakfasts ne sont pas faciles à trouver. Mais quand on trouve LE bon restaurant et qu’on arrive au bon moment, c’est sans doute la chose la plus merveilleuse au monde. Cassoulet, saucisse, œufs au plat, champignons, tomates, toasts au beurre, galette de pommes de terre grillées, ketchup à volonté, bacon, café… Je pense sérieusement que si j’habitais à Londres, je deviendrais comme les pigeons londoniens.
Les Anglais ne comprennent pas quand on leur parle anglais avec un autre accent que le leur, si précieux et chantant.
The National gallery, The National Portrait, The Tate Modern ["La metamorphose de Narcisse", de Salvador Dali!!], The Tate Britain [le mouton de Damien Hirst!], Galleries a la Cork Street, particulierement celle qui montre des statues et des talbeaux de Dali. Voilà quelques musées d’art exceptionnels et entièrement gratuits. Encore une fois, j’admire ces Anglais et leur accès si facile et évident à la culture.
J’aime m’y balader toute seule, observer simplement les œuvres et inventer la vie des personnages.
A l’heure ou j’écris ces lignes, je suis dans un cyber café très glauque et je me suis assise auprès d une femme qui vient de s endormir dans ses feuilles de comptes. En m’asseyant, elle était très contente de me montrer qu’elle a pris avec elle un désodorisant de toilettes. J ai pas très bien compris pourquoi.
Fabrik Land, Kingston. Le paradis des tissus de toutes les couleurs avec tous les motifs pour trois fois rien. Les filles aiment aller à Accessoirize, mais en fait, c est plus amusant d’y aller pour piquer les idées faites et de courir au Fabrik Land acheter de quoi faire pareil pour 3x moins cher.
Richmond Park. Probablement le plus grand parc de Londres. Il y a des troupeaux de cerfs avec leurs biches et leurs faons, qui se baladent au milieu. Ils ne font pas de bruit, ils regardent juste les passants curieux. Le parc est magnifique. On se croirait dans une campagne perdue. J ai même vu un couple de perroquet vert. Mais ca, je ne sais pas si ca faisait vraiment partie du décors ou si c’était des fugitifs.
St-Joseph's Church. Petite église so cute près de l'université.
Covent Garden Market. Spectacles de rue, passants curieux, touristes perdus, petit marche abrite, en vendant de tout et de rien (surtout de rien).
St-Clément Danes. C’est l église centrale de la National Airforce, se situant dans la Cité de Westminster, construite en 1682.
St-Paul's Cathedrale. Église au centre du quartier d’affaires de Londres, construite et reconstruite moult fois, étant un des plus importants points religieux d’Europe. L’entrée coûte l’équivalent d’au moins trois repas alors j’abandonne.
CONSEIL IMPORTANT POUR LES ETUDIANTS FAUCHÉS QUI VONT A LONDRES:
Je suis allée dans un Prêt-a-manger (prononce Pouetamangeuher) 30 minutes avant la fermeture et j’ai acheté un café a 2 £. J ai attendu qu’ils ferment la porte et ils m’ont ensuite proposé de me servir des sandwichs, salades, soupes, pâtisseries qu’il restait avant qu’il ne les jette. Alors j ai fait ce qu’on fait quand ca vous arrive, surtout en voyage: je me suis servie.
Fabrik Land, Kingston. Le paradis des tissus de toutes les couleurs avec tous les motifs pour trois fois rien. Les filles aiment aller à Accessoirize, mais en fait, c est plus amusant d’y aller pour piquer les idées faites et de courir au Fabrik Land acheter de quoi faire pareil pour 3x moins cher.
Richmond Park. Probablement le plus grand parc de Londres. Il y a des troupeaux de cerfs avec leurs biches et leurs faons, qui se baladent au milieu. Ils ne font pas de bruit, ils regardent juste les passants curieux. Le parc est magnifique. On se croirait dans une campagne perdue. J ai même vu un couple de perroquet vert. Mais ca, je ne sais pas si ca faisait vraiment partie du décors ou si c’était des fugitifs.
St-Joseph's Church. Petite église so cute près de l'université.
Covent Garden Market. Spectacles de rue, passants curieux, touristes perdus, petit marche abrite, en vendant de tout et de rien (surtout de rien).
St-Clément Danes. C’est l église centrale de la National Airforce, se situant dans la Cité de Westminster, construite en 1682.
St-Paul's Cathedrale. Église au centre du quartier d’affaires de Londres, construite et reconstruite moult fois, étant un des plus importants points religieux d’Europe. L’entrée coûte l’équivalent d’au moins trois repas alors j’abandonne.
CONSEIL IMPORTANT POUR LES ETUDIANTS FAUCHÉS QUI VONT A LONDRES:
Je suis allée dans un Prêt-a-manger (prononce Pouetamangeuher) 30 minutes avant la fermeture et j’ai acheté un café a 2 £. J ai attendu qu’ils ferment la porte et ils m’ont ensuite proposé de me servir des sandwichs, salades, soupes, pâtisseries qu’il restait avant qu’il ne les jette. Alors j ai fait ce qu’on fait quand ca vous arrive, surtout en voyage: je me suis servie.
Première expérience CouchSurfing. Le quoi ? Mais qu’est-ce, crénom ?! Un concept merveilleux qui a changé ma vie. Il consiste à s’inscrire sur le site, créer un profile complet avec des photos et tout et tout et de contacter d’autres gens partout dans le monde pour surfer leur canapé. C’est simple, gratuit, enrichissant, ouvert d’esprit.
Je fais ma deuxième expérience CouchSurfing à Londres – disons la première officielle. Je débarque dans un bar avec mon gros sac de 16 kg sur le dos, commande un coca en attendant. Un vieil Algérien veut faire la causette mais je crois qu’il comprend vite le message... Deux nanas plutôt déterminées déboulent dans le bar et je comprends tout de suite qu’elles sont mes futures hôtes Lolo et Liz. Deux exilées Françaises complètement barges qui me prennent par le bras pour m’emmener dans un autre bar. On y rencontre d’autres gens qui nous invitent à une soirée privée au Lounge, 7eme étage d’un bâtiment au plein centre de Londres, avec vue sur London Eye et Big Ben. Je trouve que c’est plutôt pas mal, de faire la fête a Londres. C’est même plutôt exceptionnel. Surtout quand on rencontre des gens géniaux à qui la chance sourit. =)
Et puis le vent tourne. Pour la première fois.
'tain, du coup tu m'a vraiment redonné envie de voyager...
RépondreSupprimeret surtout de retourner à londres bientot!
Me réjouis d'entendre plus de tes aventures, bonne chance ^^
J'avais pas tout lu . mais c'est vraiment excellent, tout ce que tu nous révèle avec un humour en frôlant le cynisme l'ironie et le naturel. J'adore et effectivement un mythe s'effondre pour la voie neuf trois quart.
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